Update Marilyn exposition
JEUDI 25 SEPTEMBRE dès 18h30
Inauguration de la nouvelle scène de l’Espace Jean Legendre
avec une surprise musicale et acrobatique
suivie du vernissage des expositions
Update Marilyn[Compagnie Principe Actif]
et Escape [Tina Merandon]
dès 20h30 : Certains l’aiment chaud,
projection du film de Billy Wilder avec Marilyn Monroe, Tony Curtis, Jack Lemmon
Exposition : Sculpture rétrospective d’Albert Carrier-Belleuse du 22 mai au 27 octobre 2014
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Cette exposition est organisée par la Réunion des Musées Nationaux – Grand Palais et le Palais impérial de Compiègne. Albert Ernest Carrier-Belleuse (1824-1887) fut l’un des sculpteurs les plus célèbres et certainement les plus omniprésents du Second Empire. L’exposition, 1ère rétrospective consacrée à Carrier-Belleuse, montrera comment, à côté de Carpeaux, il incarne la sculpture du Second-Empire, son éclectisme, sa générosité, sa capacité d’invention et ses ouvertures sur des perspectives multiples qui expliquent que Rodin fut profondément marqué par son maître. Des prêts exceptionnels des musées d’Orsay, Rodin, des Arts décoratifs de Paris, de la Cité de la Céramique, du Metropolitan Museum of Art de New York, de collections publiques et privées permettront d’apprécier l’extraordinaire qualité de son œuvre et de mesurer son influence sur Rodin.
• Jusqu’au 15 octobre, de 12h à 18h, ouverture du Jardin des Roses. Fermé le mardi. • Salon de thé du Jardin des Roses, ouvert jusqu’à la Toussaint de 12h à 18h (dernier service à 17h30). Fermé le mardi.
Renseignements au 03 44 42 51 38
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Le fond Jean Hoen : Mémorial de l’internement et de la déportation à Compiègne
Le fonds Jean Hoen, rejoint les collections du Mémorial de l’internement et de la déportation à Compiègne.
Qui était Jean Hoen ? D’origine lorraine, né en 1884, Résistant, ancien combattant de la Grande Guerre, menuisier ébéniste de formation, il est dénoncé et arrêté à Marseille, déporté en 1943, à l’âge de cinquante-huit ans. Dès son internement au camp de Compiègne-Royallieu, il se mettra à écrire : De Compiègne à Buchenwald – Frontstalag 122 est publié à 250 exemplaires en 1945. Puis il chercha un éditeur pour publier la suite de son récit, mais mourut en 1949 avant de concrétiser son projet. Il faudra attendre 2013 et le concours des Presses Universitaire de France et de la Ville de Compiègne pour que paraisse KLB – Journal de Buchenwald, 1943 – 1945.
Sa petite-fille Catherine Gostiaux redécouvre en 2002 une boîte d’archives contenant outre le manuscrit de KLB écrit par son grand-père, des dessins, lettres, portraits, photographies, et même des objets rapportés des camps de Compiègne et Buchenwald : canifs, carte de jeux, dominos fabriqués au camps…
Autant de trésors qu’elle a décidé d’offrir à la Ville de Compiègne par le biais de son Mémorial de l’internement et de l’internement et de la déportation, pour que perdure la mémoire de Jean Hoen et de ses camarades.
Entrée libre le samedi 15 mars sur présentation du carton d’invitation.
Mémorial de l’internement et de la déportation
2 bis, avenue des Martyrs de la Liberté – 60200 Compiègne. Tél. 03.44.96.37.00
Ouvert tous les jours sauf le mardi de 10h à 18h sans interruption le midi.
Musée / Danse: Un espace permanent consacré à Noureev, à Moulins
Musée / Danse
Un espace permanent consacré à Noureev, à Moulins
Vingt ans après la mort de Rudolph Noureev, le Centre national du costume de scène, à Moulins, vient d’ouvrir une exposition permanente retraçant à travers ses costumes et œuvres d’art la carrière et la vie de l’étoile russe de la danse.
Collectionneur insatiable, Noureev achetait au gré de ses voyages tableaux, sculptures, gravures, estampes, meubles, textiles exotiques, instruments de musique dont il décorait ses appartements de New-York ou Paris.
Décédé du sida en 1993 à l’âge de 54 ans, il avait souhaité dans son testament « voir (son) nom perpétué sous la forme d’un musée ou d’une galerie d’exposition commémorant (son) style de vie et (sa) carrière ».
La fondation qu’il avait créée a donc fait don au CNCS d’une grande partie de ses biens, exposés depuis samedi, de manière permanente, sur 350 m2 de ce musée unique au monde.
Un premier espace retrace la carrière internationale du danseur-chorégraphe russe à travers ses costumes et ceux de ses partenaires, notamment Sylvie Guillem ou Noëlla Pontois. Il met en évidence le parcours remarquable de Noureev et son apport essentiel au ballet classique, tant sur le plan vestimentaire que chorégraphique.
On y voit ainsi le pourpoint qu’il porta en 1962 dans Casse-Noisette, l’un des premiers ballets dansés après sa défection, en juin 1961.
Pour des questions de conservation, ces costumes seront exposés par roulement tous les six mois. Des photographies personnelles illustrant sa jeunesse à Oufa, sa formation à l’Ecole de danse Vaganova à Leningrad, et ses premiers pas comme soliste du ballet de Kirov jusqu’à sa défection composent un autre espace.
Enfin, une troisième salle reconstitue le salon de son appartement parisien aux murs tapissés de tableaux, plongeant le visiteur dans la vie intime de Noureev. On peut y admirer canapé, guéridon et nombreux autres objets permettant ainsi « de juger des liens entre les créations artistiques de l’homme et son esthétique de vie personnelle », selon les organisateurs de l’exposition.
(Source AFP)
http://www.moulins-tourisme.com/fr/decouvrir/moulins/ville-moulins.htm
GayLife : 1er Salon/Forum/Event Hétéro&Gay-Friendly
Vendredi 04 octobre 2013 10:00 – Dimanche 06 octobre 2013 10:00
GayLife se tiendra du 4 au 6 octobre 2013 à Paris, Porte de Versailles. Le salon sera à l’image de l’art de vivre gay : raffiné, précurseur de tendances et sensible à la culture. Il présentera une offre complète de biens et services à travers 30 thématiques. En parallèle du salon, des débats sereins seront organisés sur des questions de société. Enfin, GayLife fera la part belle à la culture avec de nombreuses animations. L’événement sera retransmis en live sur www.gaylife.eu.
75015 Paris
Journées Européennes du Patrimoine ( European Heritage Days )
Journées Européennes du Patrimoine Samedi 14 Septembre et Dimanche 15 Septembre 2013.
» 1913 – 2013 : cent ans de protection »
L’année 2013sera le cadre de la commémoration d’une loi fondatrice pour la protection des monuments historiques en France, celle du 31 Décembre 2013, mais aussi de la célébration du 30ème anniversaire des Journées Européennes du Patrimoine.
Compiègne :
Théâtre Impérial
Visite de la ville historique
Visite de l’Hôtel Dieu
Visite de l’Hôtel de Ville
Chapelle Notre Dame-de-Bon-Secours
Église Saint-Germain
Les Grandes Écuries Haras National
Palais Impérial
La Bibliothèque Saint-Corneille
Musée du Cloître Saint-Corneille
Espace Culturel Saint-Pierre-des-Minimes
Musée de la figurine historique
Musée d’Art et d’archéologie Antoine Vivenel
Mémorial de l’internement et de la déportation Camp de Royallieu
Aux alentours…
Château de Pierrefonds
Mémorial de l’Armistice
En Forêt…
Pavillon Eugénie
www.journeesdupatrimoine.culture.fr
Tel. 03.44.40.01.00
Festival de l’Histoire de l’art à Fontainebleu
Festival de l’Histoire de l’art – 3e Edition du 31 mai au 2 juin 2013 à Fontainebleau
Le ministère de la Culture et de la Communication, l’Institut national d’histoire de l’art et le Château de Fontainebleau, organisent la troisième
édition du Festival de l’histoire de l’art qui aura lieu du vendredi 31 mai au dimanche 2 juin 2013 au Château et dans la ville de Fontainebleau.
Près de 20 000 visiteurs sont attendus pour cette nouvelle édition du Festival de l’histoire de l’art qui convie le grand public et aussi les professionnels, étudiants, enseignants et tous les amateurs et les curieux du monde de l’art – pour mieux faire connaître cette discipline dont l’enseignement est maintenant généralisé à toute la scolarité.
Le thème de l’édition 2013 aura pour thème « l’éphémère » qui sera le fil conducteur de l’ensemble des conférences et tables rondes et décliné au travers des 200 événements organisés (rencontres, projections, visites etc.). Les visiteurs retrouveront également les rendez-vous annuels tels que : le Forum de l’histoire de l’art (panorama de l’actualité du monde des arts), le Salon du livre et des revues d’art et Art & Caméra, la section film du Festival.
Après l’Italie et l’Allemagne, le pays invité sera cette année le Royaume – Uni,
pays précurseur dans l’histoire des musées, et qui entretient avec son patrimoine un rapport différent du nôtre. Carrefour des publics et des savoirs, en accès libre et gratuit, ces trois journées offriront profusion de conférences, débats, projections de films, concerts, expositions, visites guidées, lectures, dans divers lieux de la ville, au château et dans les jardins de Fontainebleau.
La Nuit Européenne des Musées ( Samedi 18 Mai 2013 )
- Palais Impérial de Compiègne
- Espace Saint-Pierre des Minimes
- Mémorial de l’Internement et de la Déportation – Camp de Royallieu
- Musée Antoine Vivenel
- Musée du Cloître Saint-Corneille
- Musée de la Figurine Historique
- Fête de Jehanne d’Arc
http://www.nuitdesmusees.culture.fr/
TAMARA DE LEMPICKA : Pinacothèque de Paris, du 18 avril 2013 au 08 septembre 2013
À la Pinacothèque de Paris, du 18 avril 2013 au 08 septembre 2013
La reine de l’Art déco
Les deux expositions présentées simultanément sur les deux sites de la Pinacothèque, permettent aux visiteurs de découvrir la première rétrospective de l’Art nouveau français et son évolution en mouvement Art déco par l’intermédiaire d’une de ses icônes, Tamara de Lempicka.
Alors que l’Art nouveau s’essouffle et voit ses formes évoluer vers un abandon de l’arabesque, retourner vers une géométrisation et se transformer petit à petit en ce qui s’est appelé l’Art déco, la représentation de la figure féminine va, elle aussi, connaître une évolution majeure.
De la sensualité et l’érotisme, nous allons passer à une sexualité transgressive beaucoup plus poussée. La figure de la « garçonne » comme caractéristique marquante de l’Art déco va donner à Tamara de Lempicka une position prépondérante dans ce mouvement, au point d’en faire son égérie.
La sexualité assumée de Tamara – bien que mariée deux fois, elle affiche ouvertement son goût pour les femmes et exprime librement son homosexualité – va correspondre à la volonté d’émancipation des femmes à cette époque. À l’égal de Louise Brooke ou de Joséphine Baker, Tamara de Lempicka va incarner cette image d’une femme dont le statut est équivalent à celui de l’homme.
Tamara est contemporaine de l’Art déco. Elle crée ses plus belles œuvres de 1925 à 1935. Sa carrière et sa vie sont plus que liées à ce mouvement dont elle est la plus célèbre représentante. Illustration des Années folles, d’un mode de vie, d’une forme de mondanité et de liberté de création et de pensée, elle adopte un style très particulier qui lui donne une place tout à fait à part dans l’art moderne. Inclassable, elle signe pourtant les plus beaux chefs-d’œuvre de l’Art déco.
La Pinacothèque de Paris choisit aujourd’hui de montrer l’œuvre de Tamara et d’illustrer la manière dont cette artiste, par ses travaux mais aussi par sa personnalité inclassable et ambiguë, va coller parfaitement à la période qu’elle incarne. Sa vie très mondaine et théâtrale est une succession de mises en scène donnant le premier rôle à la modernité et au luxe. Ce rapport à la transgression et aux idées progressistes en fait sans doute le personnage le plus troublant du début du xxe siècle. Jouant sans état d’âme sur les attitudes érotiques des femmes, ou tout au moins leur sensualité, elle les place néanmoins dans un univers néo-cubiste et profondément Art déco.
Merci à Gioia Mori, commissaire de l’exposition et éminente spécialiste de Tamara de Lempicka, pour son travail et son expertise. Merci également à tous les collectionneurs privés et institutionnels à travers le monde qui ont permis, par leur générosité, de concrétiser ce projet.
http://www.pinacotheque.com/no_cache/fr/accueil/expositions/aujourdhui/tamara-de-lempicka.html
http://essentielblog.pinacotheque.com/2013/04/25/paris-est-a-vous/
Marilyn au cloître, exposition
La ville de Compiègne organise l’exposition « Marilyn au cloître » au Cloître Saint-Corneille, à Compiègne. L’aura et la majesté du cloître, patrimoine classé et fleuron de la bibliothèque, subliment le monde secret de Marilyn Monroe.
Le vernissage de l’exposition aura lieu mardi 2 avril à 18 h 30 en présence de l’artiste parisien, Maurice Renoma. Cette exposition sera présentée du mardi 2 avril au jeudi 15 août 2013.
Entrée libre par la grande verrière, Place du Change.
Infos pratiques :
Bibliothèque Saint-Corneille
Place du Change,
60200 – Compiègne
Tél : 03 44 41 83 75
Horaires d’ouverture : Mardi, mercredi, vendredi et samedi de 10h à 18h et jeudi de 10h à 13h
Compiègne : « Marilyn au cloître », la star comme vous ne l’avez jamais vue
Publié le 04/04/2013 à 14H59, mis à jour le 04/04/2013 à 17H19
© France 3/ Culturebox
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On a tellement entendu parler de Marilyn Monroe qu’elle nous est devenue presque familière, si bien que tout le monde l’appelle par son prénom. Un prénom qui résonne comme un symbole, celui d’une star internationale devenue icône de la mode et surtout du cinéma.
Marilyn, c’est la femme fatale par excellence, le sex-symbol qui a attiré le regard des hommes par sa plastique iréprochable et son joli minois. Mais il existe une face cachée de Marilyn, une boîte de Pandore renfermant de multiples secrets qui a contribué à l’élaboration d’un mythe.
Reportage de E. Montcho, G. Giraudeau, J. Houbron
Les diamants sont éternels
En mai dernier à Paris, Maurice Renoma et sa fille Stéphanie avaient déjà consacré pas moins de trois expositions à la star, présentant au monde des clichés inédits de Bernard of Hollywood. Captant des moments d’intimité et insistant sur ses peurs et ses doutes, une partie de l’exposition s’intéressait à la vie secrète d’une Marilyn loin des projecteurs. A l’opposé, en jouant sur le contraste, ils avaient aussi mis en lumière le mythe en revenant sur les grands moments de la vie de la blonde sulfureuse. Le côté sombre de la star commence à être mieux connu mais il restera toujours des zones d’ombres. Monroe a fasciné, scandalisé, est devenue une légende du 7e Art, mais elle n’a jamais réussi à exister à part entière, prisonnière de son image de marque.
Marylin par Andy Wharol © DR
La solitude de l’actrice ne l’a jamais quittée, si bien qu’elle finît par mettre fin à ses jours dans la chaleur de l’été 1962. De l’ombre à la lumière, de la lumière à l’ombre, elle n’a cessé de naviguer. L’équipe de la bibliothèque de Compiègne a tenu à donner un nouvel éclairage aux clichés présentés par Maurice Renoma en les installant au coeur du cloître Saint-Corneille à Compiègne. L’occasion pour l’étoile d’Hollywood de briller à nouveau à la lumière des vitraux tout en trouvant refuge dans ce lieu d’éternité. Un si juste équilibre. Si « les diamants sont les meilleurs amis de la femme », Marilyn, toujours éclatante comme une pierre précieuse, n’en a plus besoin.
Infos pratiques : L’exposition « Marilyn au cloître » jusqu’au 15 août 2013. Entrée libre par la grande verrière de la bibliothèque du cloître, Place du Change à Compiègne.
Camille Claudel
La sortie du film Camille Claudel 1915 précède l’exposition sur l’artiste à Montfavet en Avignon
Dans le film «Camille Claudel 1915» en salle le 13 mars, Bruno Dumont raconte trois jours de la vie de la sculptrice internée dans un asile. Une mise à nu portée par l’actrice Juliette Binoche. La sortie du film précède une exposition sur l’artiste à Avignon. Le Musée les Arcades du Centre hospitalier de Montfavet, en Avignon, organise un évènement d’envergure autour de l’oeuvre de Camille Claudel, un hommage à cette immense artiste qui y fut internée, il y a tout juste 100 ans, pour y mourir en 1943.
Le film de Bruno Dumont raconte quelques jours dans la vie d’une femme au bord de la folie, tout entière mobilisée par l’annonce d’une visite à ses yeux cruciale, celle de son frère cadet, le célèbre Paul, écrivain. C’est Juliette Binoche qui incarne Camille Claudel.
Trois oeuvres de l’artiste seront exposées. L’occasion de poursuivre un travail de mémoire.
Les différents thèmes inspirés par la vie de l’artiste, son œuvre et sa folie s’ordonnent autour de trois axes soulevés dans le titre de cette exposition : « La femme, la folie, la création ».
Des réalisations créées spécialement par des patients dans les ateliers de psychothérapie à médiation créatrice sur les mêmes thèmes seront exposées en regards aux œuvres de Camille Claudel.
Infos pratiques
Ouverture de 13h30 à 19h00 en semaine et de 11h00 à 19h00 les week-ends et jours fériés
Tarif plein : 6 € – Tarif réduit : 4 €
Visites guidées de l’exposition en groupes sur rendez-vous les mardis – Tarif : 4 €
Renseignements et réservations :
T. 04 90 03 90 01
Centre hospitalier de Montfavet
2, avenue de la Pinède BP 40092
84143 MONTFAVET cedex
http://www.camilleclaudel2013.com
- Biografía Camille Claudel
- Camille Claudel:• Camille Claudel (Fère-en-Tardenois, Aisne, 8 de diciembre de 1864 – Montdevergues,Vaucluse, 19 de Octubre de 1943) fue una escultora francesa, hermana del poeta, dramaturgo y diplomático francés Paul Claudel.
- Primeros pasos:• Desde su infancia en Champagne, Camille fue una muy apasionada de la escultura; jugaba con el barro y esculpía a las personas que la rodeaban, como a su hermano Paul y a su sirviente Hélène. En efecto, su padre fue trasladado a Nogent-sur-Seine en 1876; allí trabajaba Paul Dubois, Director de la Escuela Superior de Bellas Artes de París, y su discípulo Alfred Boucher. En 1882 llegó a ser aceptada por Paul Dubois. Llegó a París en 1883 con el fin de perfeccionar su arte e ingresa en la academia Colarussi.
- Mejor momento artístico:• Tiene su primer encuentro con Auguste Rodin en 1883, y el año siguiente empieza a trabajar en su taller. Camille posa para él y colabora en la realización de las figuras de la monumental Las Puertas del Infierno. La obra de la escultora, a pesar de ser muy cercana a la de su maestro, tiene su toque personal y femenino, sin ser nunca una copia: por eso, Octave Mirbeau proclamó su genio. Aparte de ser una de sus principales colaboradoras, fue también su amante y compañera durante algunos años; se convirtió en su modelo y su musa, inspirando obras como La Danaïde o Fugit Amor. Se produce entre ambos un clima de colaboración y enfrentamiento que enriquece la labor mutua. A pesar de la pasión, la relación entre Rodin y Camille es complicada, conflictiva y con continuas interrupciones y crisis.
- Camile y Rodin frecuentaron juntos los ambientes artísticos y culturales más importantes del París de la época y pasaron juntos largos períodos fuera de la ciudad, pero Rodin está unido sentimentalmente a otra mujer, Rose Beuret, a quien no tiene intención de abandonar para casarse con Camille. Esta situación será la inspiración de una de las obras más importantes de Camille: La edad madura. Una vez rota su relación con el escultor, entra en su vida Claude Debussy, pero también él está unido a otra mujer. Mientras, sus obras alcanzan cierto éxito y aparecen con frecuencia artículos sobre ella en las revistas de arte. En esta época de crisis emocional, Camille se encierra en su taller y se aleja del mundo. En diciembre de1905, Camille realiza su última gran exposición.Triangulo amoroso
- Declive:• Camille sufre sucesivas crisis nerviosas que se agudizarán cada vez más y comenzará a destruir sus obras. No tendrá apoyo familiar, ya que su madre y su hermana siguen siendo hostiles a su forma de vida y su hermano Paul está lejos. El único que apoyaba a Camille era su padre, que se negó reiteradamente a internar a su hija como le pedían sus familiares directos. El 3 de marzo de 1913 muere su padre. El 10 de marzo la internan en el sanatorio de Ville-Evrard y en julio en Montdevergues, manicomio del cual, a pesar de su recuperación y sus lúcidos y desgarrados ruegos a su hermano Paul, nunca saldrá. Encerrada pasará los últimos treinta años de su vida. La familia prohibió que recibiera visitas y nunca fueron a verla. Falleció en 1943 y fue enterrada en una tumba sin nombre, sólo con los números 1943 -n392
- Esculturas de Camille Claudel
- En 1888 Camille realiza uno de sus mejores trabajos: Sakountala (en mármol blanco), que encierra además un gran significado personal. Esta basada en un drama indú“SAKOUNTALA” escrito por Kalidasa, y representa al rey Dusyanta de rodillas pidiéndole perdón a su amante, la bella y pura Sakountala, por no haber cumplido su promesa de reconocerla a ella y a su hijo. La pieza forma una unidad sólida y firme, de gran cohesión y sencillez plástica.
- “CLOTHO”• De 1893 es Clotho (en yeso), una de sus esculturas más conmovedoras, una alegoría de la vejez y de la muerte que representa a la figura del Destino, una de las tres Parcas de la mitología romana.
- “El Vals”• En 1895, Camille Claudel termina El Vals, una escultura en bronce de la que logra arrancar un dinamismo sorprendente. La pareja de bailarines que la constituyen apenas se sostienen. Casi salen del espacio virtual de la escultura rompiendo sus ataduras con la roca para alejarse a danzar libremente por el salón imaginario. La tensión aumenta por el modo en que en un juego de ilusión perfecto los rostros de ambos amantes se entre tocan.
- “La edad madura”• De 1898 es uno de sus trabajos más ambiciosos, el grupo escultórico La edad madura (en bronce), realizado en el momento de su definitiva ruptura con Rodin. Es una alegoría que consta de tres figuras, y muestra a un hombre que es llevado por una anciana, alejándolo de una mujer joven arrodillada e implorante, es evidente el sentimiento de abandono ante la separación de su amante. Pero más allá de su historia personal, Camille Claudel realiza una obra simbólica que invita a una meditación sobre las relaciones humanas. El grupo puede interpretarse como una alegoría del tiempo que conduce inexorablemente al hombre de la juventud perdida para siempre a la vejez anunciadora de la muerte.
- En 1905 realiza su última“El abandono” gran escultura, titulada El abandono (en bronce), donde retomaría el tema de Sakountala. A simple vista ambas parecen casi iguales, sin embargo son muy diferentes, no solo porque El abandono es de menor tamaño, sino porque se aleja de Sakountala en su solidez y cohesión. Esta vez, algunas partes parecen no respetar las proporciones geométricas y el espacio virtual de la escultura. Mucho menos la proporción de la figura humana. A Camille ya no le interesa respetar a su maestro, ya no cree en su amante, se siente perseguida, finalmente, por su Deseo.
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Marie Laurencin, une biche parmi les fauves
Marie Laurencin ( 1883-1956 ) Pinture aquarelle XIX – XX Musée Marmottan-Monet jusqu’au 30 juin 2013
Une femme libre.
Il aura fallu attendre plus de 50 ans après sa mort, pour qu’un Musée français rende hommage à l’une des peintres les plus célèbres du XXème siècle : Marie Laurencin. Les plus grands, Picasso, Braque, Apollinaire l’ont entourée et soutenue dans sa vocation. Indépendante et libre, Marie Laurencin s’affranchit rapidement du cubisme, le courant de l’époque, pour imposer son style délicat et raffiné. A l’apogée de son art, pendant les Années Folles, l’artiste peint avec gourmandise et fascination des scènes et des portraits de femmes dans des tons vaporeux. » Un raffinement à la française » qui n’aura pas échappé aux collectionneurs japonais qui ont prêté la majorité des 90 oeuvres exposées au Musée Marmottan-Monet.
Un saphisme discret.
Sorti des années Apollinaire, on ne connaît qu’un grand amour dans la vie de Marie Laurencin : Nicole Groult. Dans sa vaste correspondance, qui restera inédite selon ses souhaits, les lettres à Nicole sont les seules où cette grande pudique exprime une passion.
Sa liaison avec cette styliste renommée qui était aussi la soeur du couturier Paul Poiret n’est pas un secret ( elles s’affichent côte à côte dans ces Deux soeurs au violoncelle ), mais il n’y a nul militantisme chez Marie Laurencin, elle revendique plutôt une sorte de droit à l’indifférence, assez moderne finalement.
Horaires du Musée
Le musée est ouvert du mardi au dimanche
de 10 h à 18 heures et nocturne les jeudis jusqu’à 20 heures – fermeture le lundi, le 1er mai, le 25 décembre, et le 1er janvier.
2, rue Louis-Boilly 75016 Paris France
Tél. : 01 44 96 50 33
Les compagnons de l’éternité
Chef-d’oevre de la sculpture médiévale, le cortège de pleurants tailles dans l’albâtre qui ornait l’impressionnant tombeau de Jean sans Peur, duc de Bourgogne, est exposé pour la première fois à Paris, au Musée de Cluny. Quarante et un pleurants qui forment une procession autour du tombeau du duc de Bourgogne, un de princes les plus puissants du Moyen Age. Chacun d’entre eux ( d’une hauteur de 40 centimètres ) est différent par son attitude, l’expression de son visage, la richesse des plis de son manteau. la précision des sentiments ciselés dans l’albâtre fait de cet ensemble une étape capitale dans l’histoire de la sculpture gothique.
Un moment unique de raffinement artistique.
» Larmes d’albâtre. Les pleurants du tombeau de Jean sans Peur, duc de Burgogne »
Musée de Cluny, 6, Place Paul-Painlevé, 75005 Paris
jusqu’au 3 Juin 2013
Paris gay village : Agenda des Visites Inverties
Pour voir et vivre Paris en mode LGBT
ParisGayVillage est une association loi 1901 qui réunit celles et ceux qui souhaitent s’impliquer dans la promotion et le développement du tourisme LGBT à Paris.
Des parisiens amoureux de leur ville vous renseignent, lors d’accueils personnalisés, sur toutes les questions que vous vous posez sur le Paris gay & lesbien insolite, culturel et convivial.
Voir notre page Accueils personnalisés.
Partez avec nous à la découverte de l’histoire des homosexualités et des cultures gays et lesbiennes à Paris du XVIIème siècle aux années 80 grâce aux Visites Inverties organisées par Paris Gay Village. Ces visites guidées de deux heures environ ont lieu tous les mois en moyenne.
Le musée du Petit-Palais : un regard gay et lesbien
Samedi 16 février à 14h00
Autour de la Montagne Sainte-Geneviève
Dimanche 24 mars à 14h30
Le XVIIIème siècle vit s’établir autour de la Montagne Sainte-Geneviève plusieurs cabarets où se retrouvaient les bougres et les bardaches. Au début du XXème siècle, la Montagne accueillait un des bals pour homos et lesbiennes les plus populaires de Paris.
Mais c’est surtout le quartier des revendications : la Sorbonne en 68, la Mutualité et la place Maubert un peu plus tard. Et si on croisait aussi Vautrin, Verlaine, Rimbaud et Jean-Louis Bory.
Visite animée par Ludovic Dunod
Rdv : Place de la Sorbonne
PAF : 10€
La beauté masculine au musée du Louvre
Vendredi 11 janvier 2013 à 19h30
Bon nombre d’oeuvres du musée du Louvre célèbrent la beauté du corps masculin. Si les représentations de nus sont souvent homo-érotiques, beaucoup de portraits peuvent aussi être vus comme des exemples parfaits de séduction masculine. Au cours de la visite, suivant l’humeur du conférencier, vous découvrez quelques chefs d’œuvre et d’autres pièces moins connues, voyageant à travers les siècles et à travers leur vision de la beauté de l’homme.
Visite animée par Alain Canat
PAF : 15€
(ce tarif comprend le billet d’entrée au musée)
Réservation obligatoire (max 25 personnes)
RDV à 19h15 sous la pyramide, devant l’accueil groupe.
La sociabilité lesbienne à Pigalle
Dimanche 21 avril à 14h30
Pigalle à été, entre la fin du XIXème siècle et les années 60, un quartier lesbien avec les premiers bars pour femmes, des tables hôtes uniquement réservées aux lesbiennes, des boîtes célèbres dans l’entre deux-guerre et encore plus.
Visitons Pigalle côté filles.
Visite animée par Florence Henry
Réservation obligatoire sur ce site (20 personnes maximum)
RDV : Place Pigalle, devant la fontaine (M° Pigalle)
PAF : 10€
Musée du Louvre-Lens
Une institution décentralisée pour de nouveaux publics. Trois ans après la pose de sa première pierre, le Louvre-Lens ouvre ses portes en présentant nombre de chefs-d’œuvre prêtés pour un an par le Louvre parisien: « La Liberté guidant le peuple » de Delacroix, le « Portrait de Balthazar Castiglione » de Raphaël, « La Madeleine à la veilleuse » de Georges de La Tour, « Louis-François Bertin » de Ingres … Quant à la « Sainte Anne » de Léonard de Vinci, elle quitte pour la première fois le Palais parisien où elle se trouve depuis plus de deux siècles pour s’installer pour trois mois à Lens.
Située à une heure de Paris en TGV, la ville de Lens est au coeur du bassin minier, près de la Belgique. Le nouveau musée peut donc attirer un large public européen. Mais il a d’abord été conçu avec la volonté d’attirer la population locale et de nouveaux publics, souvent peu habitués à fréquenter les institutions culturelles.
François hollande a salué « un événement pour le Nord-Pas-de-Calais, région la plus jeune de France, éprouvée par la crise et qui s’offre aujourd’hui le Louvre […] Le musée que nous inaugurons aujourd’hui est porteur de beauté mais aussi de valeurs: la fidélité à l’histoire, l’égalité dans l’accès à la culture et la confiance dans l’avenir d’une terre industrielle, d’une région, d’un pays. »
Le musée du Louvre-Lens, inauguré officiellement le 4 décembre par le Président de la République, ouvrira ses portes au public le 12 décembre.
Conçu par les architectes japonais Kazuyo Sejima et Ryue Nishizawa (agence Sanaa), le musée du Louvre-Lens se fond dans le paysage en ouvrant un nouveau chapitre de la longue histoire du bassin minier. Les cinq bâtiments principaux, reliés entre eux par une ligne continue (« la Galerie du temps ») sont situés au coeur d’un parc de 20 hectares, aménagé sur l’ancienne fosse n° 9 des mines de Lens. Le hall d’accueil laisse entrevoir des sites emblématiques de la région : d’un côté, les terrils de Loos-en-Gohelle, les plus grands d’Europe, et de l’autre, le stade Bollaert. Les anciennes voies de chemins de fer qui reliaient les puits de mine ont été transformées en chemins d’accès.
La Galerie du Temps, qui structure le musée, offre un immense espace d’exposition de 3.000 mètres carrés, d’un seul tenant. Sur 125 m de long et 25 de large, 200 oeuvres y sont présentées suivant l’ordre chronologique, de la Haute Antiquité jusqu’au XIXe siècle.
La muséographie laissera ainsi la plus grande liberté au visiteur, passant d’une civilisation à l’autre pour admirer les oeuvres s depuis de multiples points de vue. Deux autres pavillons, dont l’un entièrement vitré, accueilleront des expositions temporaires sur près de 3.000 mètres carrés au total.
Les réserves et les salles de restauration des oeuvres seront visibles, à travers des baies vitrées au sous-sol du hall d’accueil.
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Exposition au Palais Impériale de Compiègne
du 19 Octobre 2012 au 28 Janvier 2013
Au terme de six années de restauration, le salon de musique de l’Impératrice Eugénie au Palais de Compiègne, appelé aussi salon de thé, a retrouvé son état d’origine du Second Empire.
Cette renaissance est l’occasion de souligner le rôle actif de la souveraine dans la décoration de ses résidences. Deux sources d’inspiration ont guidé la décoration du salon : la curiosité de l’époque pour la Chine et la redécouverte du XVIII e siècle, inspirée par la fascination de l’Impératrice pour la reine Marie-Antoinette.
L’exposition évoque ainsi l’histoire du salon et de sa restauration qui a permis à cet ensemble emblématique du goût décoratif du Second Empire de retrouver sa splendeur.
Retrouver le programme détaillé sur: www.musee-chateau-compiegne.fr